Fi Théâtre au forum des associations présentation de l'atelier théâtre enfants | SEPTEMBRE 2011
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« L’élan fait partie du saut. »
Halil Sarkis
lien Olivier Clément |
Les vidéos de Fi Théâtre sur Dailymotion
La Revue Théâtre/Public |
Observer le labeur de l'araignée |
SORTIES AUX THEATRES Un groupe d'amateurs - au sens noble - de personnes aimantes, peut se constituer afin d'aller dans différents théâtres. Cela permet de bénéficier de tarifs avantageux, et de voir de très "beaux" spectacles pour des places à des prix modiques. |
Propositions pour cette saison 2011-2012 : |
Théâtre |
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Don Giovanni. Kein Pause d'après Mozart
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L’Homme inutile ou la Conspiration des sentiments « Pourquoi parles-tu de la dernière révolution ? Dans cette farce burlesque et fantastique de 1928, Abel et Caïn s’affrontent au pays des soviets : Andreï Babitchev, l’homme nouveau, inventeur de la cantine universelle et libérateur des ménagères soviétiques, s’oppose à son frère Ivan, chantre de l’individualisme et chef d’un complot pour une ultime manifestation des anciennes passions : une conspiration des sentiments contre l’avènement de l’homme-masse, contre le triomphe de l’utile et du rationnel. Entre les frères ennemis, Kavalerov, “l’homme inutile” – et figure de l’auteur –, hésite entre sa volonté de croire en la perfectibilité du monde, de l’homme, et la conscience aiguë de son incapacité à faire table rase du passé, à éradiquer en lui le “vieil homme”. Après Le Mendiant ou la Mort de Zand (La Colline, 2007), Bernard Sobel revient à l’oeuvre d’Olecha pour jeter, par-delà l’effondrement du bloc communiste, un autre regard sur aujourd’hui. Le socialisme a échoué, le marché triomphe. Ironie de l’histoire, Mac Donald accomplit le rêve d’Andreï, et SFR, dont le slogan promet à ses clients des “jours absolument moi”, ceux d’Ivan... |
Livre Les interactions entre musique et théâtre La scène contemporaine est friande d’interactions venant renouveler son langage. Cet ouvrage interroge les multiples pratiques scéniques qui mettent en jeu théâtre et musique, dans leur complémentarité ou leur affrontement dynamique. Ces interactions sont envisagées ici d’un point de vue diachronique – le recours à l’histoire montre en effet que ces pratiques sont extrêmement fluctuantes et souvent tributaires d’un contexte social – et sous l’angle du travail spécifique à l’auteur, au metteur en scène et à l’acteur-interprète. Il ressort de ces études que la musique en intégrant la scène, et en prenant le risque de se frotter à son « impureté » – car les corps en scène « émettent » aussi leur musique – se trouve enrichie et dynamisée par ces expériences où voir et entendre tissent des liens féconds. |
Spectacle : Les Apiculteurs Cirque gestuel (répétition) |
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Théâtre |
Jacques Bonnaffé aime les textes qui ont du corps, les échappées belles, les poètes qui font danser les mots, les « voix d’instincts ». Avant d’entrer pour deux ou trois ans en rousseauisme, il a choisi d’adapter deux courts textes de Jean-Christophe Bailly qui, accompagnés de peintures de Gilles Aillaud, parlent de l’animalité : « pas une ‘altérité’ présentée sans fin et sans finesse aux hommes/comme un miroir déformant/mais une différence/un départ ». Une vieille histoire pour Bonnaffé qui a appelé sa compagnie Faisan autant en hommage au volatile qu’à l’escroc qu’il désigne en argot. Il a invité le jeune danseur Jonas Chéreau à le rejoindre pour un duo encagé qui fait la part belle à l’étranger que chacun porte en lui et qui médite sur le naturel... « C’est un jeu d’enfants qui aiment à se singer. Jouant avec le petit bouquin, quand l’un lit, l’autre singe. Juste cela tour à tour, un savant échange...» Jean-Christophe Bailly Le visible est le caché est issu d’un long travail d’observation, d’une contemplation physique, pas évanescente. Il pose la question du territoire : sait-on où l’on habite vraiment aujourd’hui ? À un moment faire mon travail d’acteur, c’est de faire entendre ce texte. Il y a une nécessité aujourd’hui d’entendre parler les livres. Quand une phrase est absolument géniale, quand c’est Shakespeare ou Hugo, cela crée du dérangement dans la foule, le début d’un autre usage des sons et des mots.
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Nature aime à se cacher Le visible est l’ensemble de tous les récitatifs qui fabriquent l’apparence. Ce sont des réseaux, des enchevêtrements, des systèmes de marelles infinis, des puissances d’écho, de ricochets.
Animal |
Géniale ! |
Piano |
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